Si selon Johnny « noir, c’est noir… ». On ne peut pas juste se limiter à cette idée. Au-delà de l’absence de lumière, c’est également des nuances, des symboliques, des techniques, des courants idéologiques, des croyances, des luttes, des modes, des codes, des expériences artistiques… Décrire le noir n’est pas une mince affaire.
On ne peut pas laisser le monopole du noir aux fans d’Indochine ou aux dépressifs. Ne voyez pas dans ces mots une moquerie contre les gothiques post industriel, puisque j’adore l’œuvre de Trent Reznor mais un peu moins la voix de Nicola Sirkis.
Le noir est mal aimé et il fait parfois peur. Le noir, cette couleur qu’on ne peut pas voir. Le noir et ses idées noires. Bref, chacun à son stéréotype du noir. On peut s’attendre à plusieurs interprétations du noir.